prélude

Vous pénétrez dans la caverne aux jouets. Vous avez traversé tout le jardin, entendu les murmure mutin de quelques spéctres enfantins, et la rumeur sourde des orages naissant. A travers les divers massif de fleur vous avez avancé sans relache, égaré par le bruissement envoutant des roses dans le vent et le balaie étonnant de quelques papillons de lumières. Vous ne distinguez plus les direction, vous avez perdu votre sens de l'orientation, et pourtant il suffit de quelques pas, pour trouver quelques choses auquel on ne s'attend pas. C'est en sortant d'un taillis de ronces d'argent que vous l'appercevez. Ce n'est qu'une petite clairière au centre de laquelle trône un petit pavillon de marbre, dont les colonnes marmorèenes sont rongées par un massif de chévrefeuille. Il y a beaucoup d'animation dans cette clairière. De partout, de toutes les directions, courent des petits être. Des poupées de porcelaines un peu usées par le temps, quelques vieux doudous recousus, et de ci de là quelques anciennes marionettes qui traines leur fils usés sur le sol mousseux. Tous se parlent, ils se racontent leur propre histoire, souvent marqué de la tragédie de la vie, cette malédiction des jouets, qu'est le fait de grandir, tous on perdu leur maître, leur compagnon, ceux qu'ils préservaient des cauchemars. Dans le paviollons, sur un trône de bric et de broc, reigne une poupée de porcelaines, dont les boucles blondes retombent sur sa robe de mousseline qui fut blanche. SDes yeux de saphir papillonent doucement alors qu'elle écoute tendrement le peuple de sont royaume ignoré des enfants.

Bienvenue dans la caverne aux jouets perdus.